Le laps de temps qui s'écoule entre abandon et réaffectation est toujours périlleux pour les vieux édifices : plus d'entretien, plus de chauffage et puis l'eau qui s'infiltre...

Si ce n'était que cela, ce serait un moindre mal. Il faut aussi compter avec le facteur "humain"... D'ici peu, tout sera saccagé. Combien de temps les tableaux électriques au design typique des années de gloire de l'ère industrielle tiendront-ils ? Et ce vieux téléphone en bakélite ? Et les rampes d'escaliers de style Art déco ? On annonce des jours meilleurs pour Val Benoît. Le plus tôt possible...